La sécurité de la recherche et la science ouverte au Canada

La sécurité de la recherche et la science ouverte au Canada

La sécurité de la recherche, c’est-à-dire la capacité d’identifier les risques pour les processus et les produits de la recherche et de prendre des mesures pour les atténuer, est une préoccupation de longue date pour la communauté de la recherche et ses parties prenantes, y compris les individus et individues jusqu’aux gouvernements nationaux. Bien que l’ouverture et la collaboration soient essentielles pour faire avancer la recherche, une plus grande ouverture peut également entraîner de plus grands risques. Sécuriser les données et les connaissances numériques et d’autres extrants intangibles est particulièrement difficile. Cela a été mis en évidence pendant la pandémie de COVID-19, lorsque le pivot vers des environnements de travail virtuels et des niveaux sans précédent de collaboration mondiale et de partage de la recherche se sont accompagnés de menaces de sécurité accrues (voir « Science ouverte et COVID-19 »).

La sécurité de la recherche et la science ouverte au Canada

Research Security and Open Scholarship in Canada

Research security—the ability to identify risks to research processes and outputs and take measures to mitigate them—is a longstanding concern for the research community and its stakeholders, from individuals to national governments. Although openness and collaboration are essential for advancing research, greater openness can also lead to greater risks. Securing digital data, knowledge, and other intangible outputs is especially challenging. This was made evident during the COVID-19 pandemic, when the pivot to virtual work environments and unprecedented levels of global collaboration and research sharing was accompanied by increased security threats (see “Open Scholarship and COVID-19”).

La consolidation du marché et la communication savante

La consolidation du marché et la communication savante

Au cours de la dernière décennie ou plus, une tendance vers la consolidation du marché a été observée dans l’écosystème des communications savantes, avec moins d’entreprises détenant des parts croissantes du marché. Une étude de Data Think a estimé qu’en 2021, les très grands éditeurs (ceux qui publient plus de 500 revues) ont représenté seulement 0,06% des éditeurs de leur étude, mais ils ont publié près de la moitié – 47% – de tous les articles (Pollock 2022). Cette consolidation croissante du marché a soulevé des préoccupations dans la communauté de la science ouverte et dans la communauté universitaire en général.