La sécurité de la recherche et la science ouverte au Canada

La sécurité de la recherche et la science ouverte au Canada

La sécurité de la recherche, c’est-à-dire la capacité d’identifier les risques pour les processus et les produits de la recherche et de prendre des mesures pour les atténuer, est une préoccupation de longue date pour la communauté de la recherche et ses parties prenantes, y compris les individus et individues jusqu’aux gouvernements nationaux. Bien que l’ouverture et la collaboration soient essentielles pour faire avancer la recherche, une plus grande ouverture peut également entraîner de plus grands risques. Sécuriser les données et les connaissances numériques et d’autres extrants intangibles est particulièrement difficile. Cela a été mis en évidence pendant la pandémie de COVID-19, lorsque le pivot vers des environnements de travail virtuels et des niveaux sans précédent de collaboration mondiale et de partage de la recherche se sont accompagnés de menaces de sécurité accrues (voir « Science ouverte et COVID-19 »).

Le 20e anniversaire de l’Initiative de Budapest pour l’accès ouvert

Le 20e anniversaire de l’Initiative de Budapest pour l’accès ouvert

Le 15 mars 2022, l’Initiative de Budapest pour l’accès ouvert (BOAI) a célébré son 20e anniversaire en publiant quatre nouvelles recommandations de haut niveau – ainsi que des sous-recommandations détaillées et d’autres développements – mettant l’accent sur le libre accès dirigé par les communautés et l’équité mondiale, et en relevant les principaux défis de la prochaine décennie (BOAI 2022).

Les droits de propriété intellectuelle et la science ouverte en Europe

Les droits de propriété intellectuelle et la science ouverte en Europe

L’intersection des droits de propriété intellectuelle (DPI) et de la science ouverte est depuis longtemps une question d’intérêt pour le milieu de la recherche et pour l’industrie. Les politiques et la législation en matière de propriété intellectuelle visent à établir un équilibre entre les droits moraux et économiques des créateurs et créatrices de leurs œuvres et les droits et intérêts du grand public. La nécessité de comprendre comment les DPI et la science ouverte interagissent est devenue plus pressante à mesure que le mouvement de la science ouverte a progressé. Cela est particulièrement vrai dans le contexte de la pandémie de COVID-19, qui a mis en évidence le pouvoir de la recherche ouverte et collaborative de résoudre des défis complexes et mondiaux (voir « Bourses ouvertes et COVID-19 »).

Le libre accès dans les sciences humaines au Canada : une conversation

Le libre accès dans les sciences humaines au Canada : une conversation

Au cours de la dernière décennie, le libre accès a gagné le soutien des chercheurs et des décideurs politiques, avec un plaidoyer de plus en plus fort en faveur de l’accès gratuit en ligne aux travaux universitaires. Si l’intégration de politiques de libre accès au Canada reflète l’évolution rapide du paysage de l’édition, avec l’essor de la numérisation et le besoin pressant d’élargir l’accès, les obstacles à la généralisation du libre accès sont nombreux et complexes.

La consolidation du marché et la communication savante

La consolidation du marché et la communication savante

Au cours de la dernière décennie ou plus, une tendance vers la consolidation du marché a été observée dans l’écosystème des communications savantes, avec moins d’entreprises détenant des parts croissantes du marché. Une étude de Data Think a estimé qu’en 2021, les très grands éditeurs (ceux qui publient plus de 500 revues) ont représenté seulement 0,06% des éditeurs de leur étude, mais ils ont publié près de la moitié – 47% – de tous les articles (Pollock 2022). Cette consolidation croissante du marché a soulevé des préoccupations dans la communauté de la science ouverte et dans la communauté universitaire en général.